“Ciao Italia !” en itinérance…

Le succès de la présentation à Auch de l’exposition “Ciao Italia !” Ces immigrés italiens qui ont fait la France, les Archives départementales du Gers et le Musée national de l’histoire de l’immigration ont décidé de poursuivre leur partenariat en travaillant sur son itinérance dans le département.

La commune de Lombez constitue sa première étape : l’exposition y sera présentée à compter du 9 juin et durant tout l’été 2023 sous la halle et dans l’ancienne sous-préfecture. Elle devrait ensuite circuler à Vic-Fezensac, Fleurance et Nogaro (dates à préciser).

Dès la seconde moitié du XIXe siècle et jusque dans les années 1960, les Italiens furent les étrangers les plus nombreux dans l’Hexagone à venir occuper les emplois créés par la croissance économique.

Aujourd’hui célébrée, leur intégration ne se fit pourtant pas sans heurts. Entre préjugés dévalorisants et regards bienveillants, l’image de l’Italien en France se dessina sur un mode paradoxal et leurs conditions d’accueil furent difficiles. Entre méfiance et désir, violences et passions, rejet et intégration l’exposition traduit les contradictions spécifiques de l’histoire de cette immigration tout en mettant en lumière l’apport des Italiens à la société et à la culture française.

Jouant des clichés et préjugés de l’époque et rappelant la xénophobie dont ils étaient victimes, l’exposition s’attache à retracer le parcours géographique, socio-économique et culturel des immigrés italiens en France du Risorgimento des années 1860 à la Dolce Vita célébrée par Fellini en 1960. Abordant tout à la fois la religion, la presse, l’éducation, les arts, la musique et le cinéma, les jeux et le sport, ou encore la gastronomie, elle donne à voir tous ces Italiens, ouvriers, mineurs, maçons, agriculteurs, artisans commerçants, artistes ou encore entrepreneurs qui ont fait la France.

Les Archives départementales du Gers ont apporté un éclairage local en revenant sur le parcours des Italiens qui ont choisi le cœur de la Gascogne comme terre d’émigration. Illustrée d’une riche iconographie et de documents d’archives tant institutionnels que familiaux, l’exposition s’est attardée sur les particularités les plus emblématiques de cette immigration transalpine et les a replacées dans leur contexte sociologique et historique.

Retrouvez le catalogue de l’exposition, au prix de 15 euros !

“Passés (re)composés” : l’archéologie gersoise à l’honneur !

L’archéologie a été mise à l’honneur par les Archives départementales du Gers à travers l’exposition Passés (re)composés. L’archéologie dans le Gers au XIXsiècle.

L’exposition, inaugurée à l’occasion des Journées européennes de l’archéologie des 16 au 18 juin 2023, a été présentée jusqu’au dimanche 17 septembre 2023, lors des Journées européennes du patrimoine.

La tenue dans le Gers du congrès annuel de la Société française d’archéologie – le 3e après ceux de 1901 et 1970 – a donné l’occasion aux Archives départementales, en partenariat avec la DRAC Occitanie (Service régional d’archéologie), de faire (re)découvrir aux Gersois des lieux et objets archéologiques mis au jour sur leur territoire au XIXe siècle mais aussi des pionniers locaux de cette discipline scientifique.

Si, aux XVIIe et XVIIIe siècles, seuls les beaux objets sont exhumés pour alimenter les collections et cabinets des antiquaires, le XIXe siècle va marquer un tournant pour l‘archéologie : prise de conscience de l’existence d’un patrimoine national, recherches sur le terrain, essor et multiplication des sociétés savantes, émergence de l’idée qu’un lien existe entre un objet et son lieu d’origine, intérêt croissant pour le Moyen Âge, éclosion de la paléontologie et de la préhistoire qui, avec l’apport de la géologie, renouvellent les pratiques de terrain… Cette prise de conscience qui se développe tout au long du XIXe siècle pose en particulier les premiers jalons du cadre administratif et juridique qui sera progressivement mis en place au XXe siècle.

Au travers d’une présentation du contexte général et local, et d’une vingtaine de découvertes, cette exposition a voulu illustrer l’évolution de la discipline archéologique dans le Gers au XIXe siècle et l’émergence, durant cette période, de la notion de patrimonialité des vestiges.

L’exposition a rassemblé une cinquantaine de documents manuscrits et iconographiques issus des fonds publics et privés conservés aux Archives départementales (comme les carnets de Gustave Collard) ou de prêts consentis par des collectivités locales et des particuliers (magnifiques croquis du Lectourois Eugène Camoreyt). La plupart de ces documents ont été présentés pour la première fois au public.

Les publications en ligne de l’été 

Les tables de concordance cadastrale sont en ligne !

Entre 1807 et 1846, le bureau du cadastre a procédé à la réalisation du cadastre général parcellaire sur tout le territoire gersois. Le plan napoléonien est en général constitué de feuilles par sections cadastrales à l’échelle du 1/2500e. Les sections sont identifiées par une simple lettre (A, B, C, …) et la numérotation des parcelles a été effectuée de manière continue, du nord-ouest au sud-ouest, en tournant dans le sens horaire.

Le défaut du plan napoléonien est son absence de mise à jour, selon le principe de l’immuabilité. Les plans cadastraux de la commune ne comportent donc pas les modifications engendrées par les différents partages des parcelles, constructions ou démolitions des biens. La loi du 16 avril 1930 instaure la rénovation générale du cadastre. Selon les cas, le bureau du cadastre procède à la refonte des plans soit par voie de mise à jour, soit par voie de renouvellement, c’est à dire de refonte complète.

Les tables de concordance cadastrale, dressées par l’administration du cadastre en 1958, établissent la correspondance entre les parcelles du cadastre napoléonien et celles du cadastre rénové par voie de mise à jour. Elles ont donc été établies uniquement pour les communes rénovées dont les références de parcelle commencent par une simple lettre.

Pour les sections cadastrales rénovées par voie de renouvellement ou de réfection portant une double lettre, seule la confrontation visuelle entre le plan napoléonien et le plan rénové permet d’établir la correspondance entre anciennes et nouvelles parcelles. Il est à noter que, pour la section K de la ville d’Auch, un cahier établit la correspondance avec le cadastre remanié en double lettres.

Retrouvez les tables de concordance cadastrale directement, à partir du lien suivant :

https://www.archives32.fr/archives_numerisees/portail/cadastre/concordance/recherche/

 

Ajout des fiches-matricules du recrutement militaire des Gersois de la classe 1922

Les registres des fiches-matricules du recrutement militaire des Gersois de la classe 1922 sont à présent consultables en ligne.

Pour rappel, chaque fiche-matricule est établie aux vingt ans du jeune homme. Sa classe militaire est donc déterminée par son année de naissance, en l’occurrence 1902. La fiche-matricule comporte l’état civil de l’intéressé, sa description physique, ses états de services militaires, ses blessures, décorations et condamnations éventuelles ainsi que ses différents domiciles.

Les fiches matricules militaires sont directement consultables à partir du lien suivant :

https://www.archives32.fr/archives_numerisees/portail/matricules_militaires/rm/recherche/

 

Mise en ligne prochaine des registres paroissiaux concernant tout le département

Depuis le 15 mars 2023, les Archives départementales ont mis en ligne les registres paroissiaux d’Auch, Condom, Lectoure, Lombez et Mirande conservés dans la collection du greffe. Les registres en question peuvent être consultés à partir de ce lien : https://www.archives32.fr/archives_numerisees/portail/etats_civils/rp/recherche/

Elles travaillent actuellement à la publication en ligne des registres des autres anciennes paroisses se situant dans le département du Gers actuel (collection du greffe toujours) et espèrent, comme annoncé, les rendre accessibles avant la fin de l’été 2023 pour le plus grand plaisir des généalogistes.

L’intégralité des registres paroissiaux du greffe en ligne !

En 2023, les Archives départementales du Gers avaient pour objectif de mettre en ligne l’ensemble des registres paroissiaux des fonds des greffes des sénéchaussées, qui couvre la période allant de 1593 à 1792.

Cette opération s’est effectuée en deux temps :

  • dans un premier temps (mars 2023), les registres paroissiaux d’Auch, Condom, Lectoure, Lombez et Mirande ;
  • dans un second (septembre 2023), les registres des autres paroisses du Gers.

Au total, plus de 160 000 images sont à présent accessibles en ligne réparties en 4 836 lots d’images représentant 886 registres ou liasses.

En France, l’enregistrement des baptêmes est institué par l’ordonnance de Villers-Cotterêts (1539) ; celui des mariages et sépultures par l’ordonnance de Blois (1579).

Les registres paroissiaux sont tenus par les curés et vicaires des paroisses et annexes de paroisse. En 1667, une ordonnance prescrit la tenue de ces registres en double. Il existe donc deux séries de registres paroissiaux : l’une conservée dans les paroisses, l’autre conservée au greffe de la sénéchaussée. La première est confiée aux Archives départementales selon la procédure du dépôt communal (obligatoire pour les communes de moins de 2000 habitants) et la seconde est réunie aux Archives départementales à leur création sous la Révolution française.

Le plus ancien registre des fonds de greffe concerne la paroisse Saint-Pierre de La Romieu datant de 1593 : il est conservé aux Archives départementales du Gers sous la cote 5 E 332.

Le maillage territorial gersois sous l’Ancien Régime se compose de 520 paroisses et 318 annexes de paroisse identifiées.

Retrouvez dès à présent les registres paroissiaux du Gers sur le portail Archives du Gers en ligne !

Les premiers registres paroissiaux mis en ligne !

En France, l’enregistrement des baptêmes est institué par l’ordonnance de Villers-Cotterêts (1539) ; celui des mariages et sépultures par l’ordonnance de Blois (1579).

Les « registres paroissiaux » sont tenus par les curés des paroisses. En 1667, une ordonnance prescrit la tenue de ces registres en double. Il existe donc deux séries de registres paroissiaux : l’une conservée dans les paroisses, l’autre conservée au greffe de la sénéchaussée. La première est confiée aux Archives départementales selon la procédure du dépôt communal (obligatoire pour les communes de moins de 2000 habitants) et la seconde est réunie aux Archives départementales à leur création sous la Révolution.

En 2023, les Archives départementales du Gers ont pour objectif de mettre en ligne l’ensemble des registres paroissiaux de la collection du greffe, qui couvre la période du XVIe siècle à 1792.

Cette opération sera effectuée en deux temps :

  • dans un premier temps (mars 2023), les registres paroissiaux d’Auch, Condom, Lectoure, Lombez et Mirande ;
  • dans un second (à horizon de l’été 2023), les registres des autres paroisses du Gers.

Découvrez dès à présent les premiers registres paroissiaux du Gers en ligne !

 

Légende : registre des baptêmes, mariages et sépultures de Saint-Michel de Condom, 1692 (Arch. dép. du Gers, 5 E 175/3).

Conditions d’ouverture

Soucieuses d’offrir aux lecteurs la plus grande qualité d’accueil possible tout en maintenant les efforts de numérisation, les conditions d’ouverture de la salle de lecture des Archives départementales du Gers ont évolué en avril 2022.

Elles vous accueillent désormais trois jours consécutifs, du mercredi au vendredi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h.

Les autres jours de la semaine sont consacrés aux visites de groupes, aux conférences, aux ateliers, aux recherches et surtout au traitement intellectuel et matériel des collections et des outils de recherche (numérisation, indexation et mise en ligne comprises).

✅ Réservation non obligatoire

✅ Non limitation du nombre de lecteurs par séance

✅ Accès libre des chercheurs à la salle des inventaires, aux usuels et aux différents ordinateurs

✅ Port du masque préconisé mais non obligatoire

Retrouvez les informations pratiques ici !

Regards sur le Gers

Les Archives départementales du Gers et l’Institut national de l’audiovisuel (INA) vous invitent à découvrir leur production « Regards sur le Gers »

 

Un demi-siècle d’histoire gersoise désormais accessibles en ligne !

En juillet 2019, les Archives départementales du Gers et l’INA se sont associés pour co-produire une fresque historique multimédia relative à l’histoire contemporaine du cœur de la Gascogne. Malgré la crise sanitaire, le projet a pu se développer et aboutir à la signature d’une convention, le 17 décembre 2020. Une équipe technique et éditoriale s’est immédiatement mise à pied d’œuvre pour concevoir et réaliser cet outil multimédia qui a pris la forme d’un site web de ressources à destination autant des établissements d’enseignement que du grand public. Conçue comme un outil innovant d’accès aux archives issues des ressources de l’INA, complétées par des documents conservés aux Archives départementales du Gers, la fresque propose une éditorialisation propre à chaque vidéo, des fonctionnalités avancées, ainsi que des parcours thématiques et des pistes pédagogiques. Cette éditorialisation a été rendue possible grâce à la pertinence d’un comité de rédacteurs reconnus pour leur connaissance fine de la culture gersoise.

 

 Une approche inédite et originale de l’histoire contemporaine du Gers

« Regards sur le Gers », c’est une grande fresque numérique accessible sur Internet qui revient sur 60 ans d’histoire du Gers à travers des vidéos qui mettent en lumière les caractéristiques culturelles, patrimoniales, économiques et sportives du département.

Cette fresque est évolutive : aux 50 vidéos présentées en 2021, viendront s’ajouter 25 vidéos supplémentaires en 2022 et en 2023, pour atteindre un total de 100 vidéos.

 

Rendez-vous sur : https://fresques.ina.fr/regards-gers

Franc succès de l’exposition Ciao Italia !

Le Conseil départemental du Gers a accueilli l’exposition Ciao Italia ! aux Archives départementales, route de Pessan à Auch. En partenariat avec le Musée national de l’histoire de l’immigration, situé Porte dorée à Paris, l’exposition a été inaugurée pour les Journées européennes du Patrimoine les 17 et 18 septembre et a pris fin le vendredi 16 décembre 2022.

Sur toute la durée de l’exposition, un cycle d’animations (conférences, ateliers) a été proposé par des universitaires et historiens spécialistes de l’immigration italienne en France et plus particulièrement dans le Sud-Ouest, attirant plus d’un millier de visiteurs.

Retrouvez le catalogue de l’exposition, au prix de 15 euros !

Avec l’exposition Ciao Italia !, le Musée national de l’histoire de l’immigration a rendu compte pour la première fois à l’échelle nationale, de l’histoire de l’immigration italienne en France, qui reste à ce jour la plus importante. Après un accrochage au Palais de la Porte Dorée du 28 mars au 10 septembre 2017, l’exposition a été déclinée sous un format « panneaux » itinérant : le Gers fut sa dernière étape.

Dès la seconde moitié du XIXe siècle et jusque dans les années 1960, les Italiens furent les étrangers les plus nombreux dans l’Hexagone à venir occuper les emplois créés par la croissance économique.

Aujourd’hui célébrée, leur intégration ne se fit pourtant pas sans heurts. Entre préjugés dévalorisants et regards bienveillants, l’image de l’Italien en France se dessina sur un mode paradoxal et leurs conditions d’accueil furent difficiles. Entre méfiance et désir, violences et passions, rejet et intégration l’exposition traduit les contradictions spécifiques de l’histoire de cette immigration tout en mettant en lumière l’apport des Italiens à la société et à la culture française.

Jouant des clichés et préjugés de l’époque et rappelant la xénophobie dont ils étaient victimes, l’exposition s’attache à retracer le parcours géographique, socio-économique et culturel des immigrés italiens en France du Risorgimento des années 1860 à la Dolce Vita célébrée par Fellini en 1960. Abordant tout à la fois la religion, la presse, l’éducation, les arts, la musique et le cinéma, les jeux et le sport, ou encore la gastronomie, elle donne à voir tous ces Italiens, ouvriers, mineurs, maçons, agriculteurs, artisans commerçants, artistes ou encore entrepreneurs qui ont fait la France.

Les Archives départementales du Gers ont apporté un éclairage local en revenant sur le parcours des Italiens qui ont choisi le cœur de la Gascogne comme terre d’émigration. Illustrée d’une riche iconographie et de documents d’archives tant institutionnels que familiaux, l’exposition s’est attardée sur les particularités les plus emblématiques de cette immigration transalpine et les a replacées dans leur contexte sociologique et historique.

Cette exposition a été agrémentée de trois conférences et de deux ateliers, présentés dans l’auditorium des Archives départementales :

samedi 17 septembre 2022, à 15 h 30 : Stéphane Mourlane, maître de conférences en histoire à l’université d’Aix-Marseille, Apports culturels et mémoires de l’immigration italienne en France.

samedi 15 octobre 2022, à 15 h 30 : Carmela Maltone, maîtresse de conférences en histoire à l’université de Bordeaux-Montaigne, Antifascistes et fascistes italiens dans le Sud-Ouest de l’entre-deux-guerres.

jeudi 3 novembre 2022, à 17 h 30 : Valerio Diotallevi, généalogiste familial professionnel, Recherchez vos ancêtres en Italie ! (atelier de généalogie, en visioconférence).

mercredi 9 novembre 2022, à 15 h 30 : Laure Teulières, maîtresse de conférences en histoire à l’université de Toulouse II – Jean-Jaurès, L’immigration dans le Gers au XXe siècle.

mardi 29 novembre 2022, à 14 h : Marc Castanet et Italo Scaravetti, professeurs émérites, Gascon versus Frioulan (atelier de linguistique comparée).

Retrouvez les Archives du Gers sur les réseaux sociaux

Les Archives départementales du Gers sont sur les réseaux sociaux !

En 2021, les Archives départementales ont rejoint les réseaux sociaux à l’instar d’institutions patrimoniales et culturelles de plus en plus nombreuses.

N’hésitez pas à découvrir, au fil des semaines, leurs actualités, documents insolites, coulisses et toute la richesse des ressources disponibles aux Archives départementales du Gers sur leur page Facebook et leur compte Twitter.

Toutes les thématiques sont illustrées par des documents conservés sur place, à travers des “posts” relatifs aux communes qui composent le département, aux marronniers et autres anniversaires. Dans le monde d’après, une nouvelle approche des Archives pour mieux les connaître !

N’hésitez pas à vous abonner et à partager !

Amis généalogistes, les tables de successions et absences sont désormais en ligne !

Les Archives départementales du Gers poursuivent leur politique dynamique de numérisation et de mise en ligne de leurs collections.

Pour les généalogistes, les tables de successions et absences sont précieuses : dressées par ordre alphabétique de tous les défunts, y compris ceux n’ayant pas donné lieu à l’ouverture de succession entre 1820 et 1968, elles renseignent en effet non seulement sur leur état civil ainsi que celui des éventuels héritiers, mais aussi sur la localisation et la description des biens déclarés.

Lorsqu’il existe une succession, les tables renvoient aux registres de mutations par décès dans lesquels sont consignés les déclarations de successions.

Elles sont tenues par les bureaux de l’Enregistrement établis dans les chefs-lieux de canton. Selon les époques, une même commune a pu être rattachée à des bureaux différents.

Vous les trouverez ici. Bonne consultation !

Comme personnalité gersoise, figure par exemple Aristide Samalens, “docteur médecin”, député du Gers (tables de successions et absences du bureau de l’Enregistrement d’Auch, 1925-1929, cote : Q 43277).